C’est reparti pour la valse des ponts de mai, les copains qui passent leur temps à vadrouiller, les dimanches brunch-brocantes, les mariages à n’en plus finir et les opens air à chaque coin de rue… Bref, de quoi réveiller notre FOMO à coups de « t’as vu TOUT ce que tu rates ? ». Mais cette année : on ose dire non et on embrasse un nouvel état d’esprit : la JOMO.

JOMO c’est quoi ?

JOMO, c’est l’acronyme de Joy Of Missing Out soit la joie de rater quelque chose. Là où la FOMO (Fear of Missing Out) nous pousse à courir partout pour ne rien louper, la JOMO nous chuchote qu’on peut dire non sans culpabiliser. Rester à la maison, s’enfuir dans les bois, lire ce bouquin qui traîne depuis trois mois ou simplement s’écouter : tout est ok mon capitaine !

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Pourquoi JOMO ?

Chez Chilowé, ça nous parle bien la JOMO parce que ça nous ramène à l’essentiel, à ce qui nous fait vraiment du bien. Ça nous aide à sortir de la comparaison permanente, à ralentir le tempo, à savourer ce qu’on vit pour de vrai. Et surtout, ça laisse de la place pour ces fameuses aventures de dernière minute qui se transforment d’ailleurs souvent en souvenirs pour la vie.

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Comment on fait ?

Pour passer en mode JOMO, c’est facile : on ferme les onglets, on coupe les notifs, on respire un bon coup et on écoute son envie du moment. Rando en solo, balade les pieds dans l’eau, tenter le surf ou l’escalade, écouter un podcast ou juste…rien faire ? C’est ok et vivement recommandé en JOMOthérapie.