Qui a décrété que l’aventure se vivait uniquement en haut des cimes ? Parfois il suffit de lever les yeux au coin de sa rue pour transformer notre ville en terrain de jeu. En avril, on a chaussé les baskets avec les copains du Merrell Hiking Club et Alexane pour une rando urbaine à Montmartre. Résultat : des ruelles pleines d’histoires, des marches (beaucoup), des potes (encore plus) et une bonne claque d’énergie positive. Pour résumer cette belle aventure (et vous inviter à faire la même) Alexane nous partage ses 5 tips pour transformer sa ville en une rando urbaine inoubliable !

Astuce n°1 : Choisir un lieu chargé d’histoires

Les histoires, Montmartre en a un bon pavé à nous raconter. Si le quartier est apprécié des touristes pour son charme à la française (La série Emily In Paris a même fait manger ses personnages à la table de la Maison Rose, what a cliché), de notre côté, on arpente les ruelles pour se replonger dans l’Histoire.

Montmartre, c’est un village perché au cœur de Paris, un bout de colline qui a réuni à lui seul Renoir, Toulouse-Lautrec, Van Gogh, Picasso… et même Dalida ! En remontant la rue Lepic, on tombe sur le Moulin de la Galette, ancien QG de bals populaires organisés par la famille Debray, meuniers de père en fils. Et si ce jour-là, on n’a pas croqué de coq au vin ni de gratinée à l’oignon, on s’est gavé de pépites insolites : les vignes du Clos de Montmartre (à voir aussi pendant la Fête des Vendanges en octobre), le square Suzanne Buisson et ses bancs tranquilles, ou encore les trois fontaines Wallace planquées entre deux volées de marches. Résultat : des cuisses qui chauffent mais un cerveau qui bouillonne de petites histoires !

Astuce n°2 : un bon équipement

Avant de grimper les ruelles escarpées de Montmartre, petit passage obligé chez Ekosport pour s’équiper comme il faut parce que rando urbaine ou pas, de bonnes chaussures, ça change tout. Au programme : une paire de pompes stylées et confort, un tote bag qui met la patate et un mug réutilisable pour s’hydrater le long du chemin. Côté pieds, Merrell nous a fait tester la SpeedARC Matis : crampons de 3 mm, semelle en mousse ultra-moelleuse… le genre de chaussure qui donne l’impression de marcher sur un nuage, même en montant les 197 marches de la Butte.

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Astuce n°3 : une team de folie

Comme disait Jean de La Fontaine : « Rien ne sert de courir, il faut partir à point pleins. » Pleins de curiosité, de bonne humeur et d’envie de bouger. C’est exactement l’esprit des randos urbaines organisées par Merrell un peu partout en Europe. L’idée ? Marcher ensemble, lever le nez et se reconnecter au vivant juste autour de nous. Et moi, c’est tout ce que j’aime ! Je suis convaincue que chaque balade peut devenir un superbe moment, à condition de garder les yeux (et le cœur) grands ouverts. Et avec la bonne altitude, on se fait vite des copains !

Astuce n°4 : un spot café au sommet

Je sais pas vous mais moi, j’ai toujours besoin d’une petite carotte au bout de la rando pour me motiver. Pas une médaille hein juste un bon café bien mérité ça fait le taff. Cette fois, le graal nous attendait tout en haut (après 222 marches jusqu’au Sacré-Cœur) chez « Les 5 marches » : un petit coffee shop façon cantine tenu par Delphine et Géraldine. Ambiance cool, produits de saison et de quoi se régaler avec un bon café torréfié, un petit dej ou un brunch maison. Franchement, meilleure ligne d’arrivée.

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Astuce n°5 : de la bonne musique

Même si vous avez sûrement déjà croisé un accordéoniste grattant du Brassens (ou du Piaf) dans les rues de Montmartre parfois même avec un chat posé sur l’épaule (anecdote véridique) cette fois, c’est moi qui ai poussé la chansonnette pour un petit concert improvisé sur une placette au calme. En ce moment, je prépare la sortie de mon nouvel EP : de la pop française, inspirée par ce qui me fait vibrer dehors. Comme je fais pas mal de sport et d’activités en plein air, j’essaie de plus en plus de mêler les deux : ma voix et le mouvement. Alors, prêt·es à courir au rythme de mes mélodies ?

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